Moi,
je ne connais d'elle que quelques pages traduites par G.George Lemaire
dans son anthologie des écrits Beat, chez Al Dante ( Paris 2004) et
ces "Revolutionary Letters", parues aux bons soins de City Lights
Books, en 1971, l'année de ma naissance. Celle qui porte le numéro 49
est ma préférée. La voici, portée par la voix de Diane elle-même
...And just remember: "every housewife a political prisoner / every woman a political prisoner / free yourself / dance ..."
...And just remember: "every housewife a political prisoner / every woman a political prisoner / free yourself / dance ..."
Diane Di Prima, Revolutionary Letters, City Lights, San Francisco, 1971.
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