vendredi 1 juin 2012

DIANE DI PRIMA / Revolutionary letters.

 Fondatrice des éditions "The Poets Press", qui publient Gregory Corso et Herbert Huncke, Diane Di Prima co-dirige pendant dix ans avec Leroy Jones une revue littéraire mensuelle, "The Floating Bear". Puis elle part suivre sa route, proche d'un Thimothy Leary... Mère de cinq enfants, convertie au bouddhisme, elle vit et travaille à San Francisco et a publié une trentaine de livres dont deux des plus célèbres sont autobiographiques. En 1969, "Memoirs of a beatnik" et plus récemment ( encore qu'il y a presque dix ans... ) "Recollections of my life as a woman".

Moi, je ne connais d'elle que quelques pages traduites par G.George Lemaire dans son anthologie des écrits Beat, chez Al Dante ( Paris 2004) et ces "Revolutionary Letters", parues aux bons soins de City Lights Books, en 1971, l'année de ma naissance. Celle qui porte le numéro 49 est ma préférée. La voici, portée par la voix de Diane elle-même 
...And just remember: "every housewife a political prisoner / every woman a political prisoner / free yourself / dance ..."



 

Diane Di Prima, Revolutionary Letters, City Lights, San Francisco, 1971.




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